The Planetary-Stellar Mass-Luminosity Relation

The Planetary-Stellar Mass-Luminosity Relation:
Possible Evidence of Energy Nonconservation?

by Paul LaViolette
Physics Essays, vol. 5(4) 1992, pp. 536-543

Abstract

The mass-luminosity coordinates for the Jovian planets are found to lie along the lower main sequence stellar mass-luminosity relation, suggesting that both planets and red dwarf stars are powered by a similar non-nuclear source of energy. These findings support a prediction of subquantum kinetics that celestial bodies produce “genic” energy due to non-Doppler blueshifting of their photons at a rate that depends on the value of their ambient gravity potential. Genic energy also accounts for 40% of the Moon’s thermal flux, all the Earth’s core heat flux, and over half of the Sun’s luminosity, thereby resolving the mystery of the Sun’s low neutrino flux. The upward bend in the mass-luminosity relation and inflection in the luminosity function at 0.45 Msolar are attributed to the onset of nuclear burning, fusion reactions igniting at a greater stellar mass than had been previously supposed.

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Resume
Les coordonnées masse-luminosité pour les planètes de Jupiter se trouvent le long de la relation inférieure de la succession stellaire principale masse-luminosité, qui suggère que les planètes et les étoiles naines rouges sont actionnées par un source semblable d’énergie non-nucléaire. Ces découvertes confirment une prévision de la cinétique subquantique que les corps célestes produisent de l’énergie “genique” à cause du déplacement non-Doppler vers le bleu des photons à un taux qui dépend de la valeur du potentiel gravitationnel local. L’énergie genique rend compte aussi de 40% du flux thermal de la lune, de tout le flux thermal intérieur de la terre, et pour plus de la moitié de la luminosité du soleil, ce qui resout le mystère du flux fiable des neutrinos solaires. La courbure ascendante dans la masse-luminosité relation et la inflexion de la fonction de luminosité à 0.45 M sont attribuées au commencement de la combustion nucléaire, les réactions de fusion ignitant à une masse stellaire plus grande que l’on avait précédemment supposée.